« Les pianos C. Bechstein réagissent au moindre geste et savent rendre la moindre émotion qu’un pianiste cherche à exprimer. Leur spectre sonore, riche et clair autant que dense et puissant, est particulièrement impressionnant. »
Mirabelle Kajenjeri
Mirabelle Kajenjeri est une jeune pianiste française qui enthousiasme le public et les critiques par son « toucher unique », une artiste « désarmante de naturel et de générosité », qui « se joue des pires acrobaties avec un (discret) sourire » (La Libre Belgique). Son premier album, intitulé Étincelles, a été publié en septembre 2022 sous le label KNS Classical.
Née en 1998 d’un père burundais et d’une mère ukrainienne, elle a eu l’occasion de mettre en avant cette ascendance singulière en tant que conférencière lors de l’événement TEDxRoubaix (TED Talk).
Son talent a été récompensé lors de plusieurs concours internationaux, le dernier en date étant le Concurso Internacional Santa Cecilia 2021 de Porto, où elle a remporté le Premier prix ainsi que le Prix de l’orchestre.
Elle a par ailleurs bénéficié de bourses attribuées par la Wilhelm Kempff Kulturstiftung et la Feuerwerk Academy Einbeck (2022), l’International Piano Foundation Theo and Petra Lieven (2021), la Yamaha Music Europe Foundation (2020), et l’organisation Yehudi Menuhin Live Music Now (2019).
Mirabelle Kajenjeri s’est produite en public dès son plus jeune âge, aussi bien lors de festivals (Piano Campus, Lille Piano(s) Festival) qu’avec de grands orchestres (Cordes 21, Orquestra Filarmónica Portuguesa, Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt).
Titulaire de diplômes décernés par divers instituts renommés (Hochschule für Musik, Theater und Medien de Hanovre, classe d’Ewa Kupiec ; Conservatoire royal de Bruxelles, classes de Mikhaïl Faerman, Zofia Lalak et Gabriel Teclu), elle étudie actuellement à l’Universität für Musik und darstellende Kunst de Vienne auprès d’Anna Malikova.
Parallèlement à sa carrière de pianiste, elle joue du violon et a obtenu avec cet instrument un bachelor avec félicitations du jury au Conservatoire royal de Bruxelles.
Crédits photos : Yulia Mustaeva
